Nous avons peut être les mêmes valeurs , mais...

Publié le par Jean-Yves

Nous avons peut être les mêmes valeurs , mais nous ne savons pas pourquoi les autres sont venus au MODEM

Lors de l'élection présidentielle, 18.5 % des français se sont ralliés à la candidature de François Bayrou qui prônait le ni à droite ni à gauche..

Des milliers de personnes ont ensuite choisit d'adhérer au MODEM (pour la plus grande partie par Internet).

Nous avons alors pu distinguer ceux qui viennent d'un parti politique et les autres.

Pour ma part je suis dans les autres et je vais tenter de dire ce que nous attendons.

Nous souhaitons que l'adhérent de base puisse s'exprimer et ses représentants ne visent pas que des jeux personnels sans esprit collectif.

Oui à l'ambition personnelle si elle s'inscrit dans des projets collectifs.

Le MODEM ne fera pas l'économie d'une analyse sur les motivations de ses adhérents (surtout s'il souhaite les motiver et se développer) et surtout d'une étude d'image lui permettant de se distinguer dans les médias et pas seulement par des petites phrases de contestation de l'action du Président Sarkozy.

 

Ceux qui partagent mes idées veulent un mouvement qui vit localement avant de vivre au sommet . La Démocratie ne peut exister si elle n'est pas développée localement.


A quoi sert de parler Démocratie si 50% des électeurs ne votent pas aux élections municipales et qu'un maire est élu avec 25% des électeurs.

 

J'attends vos commentaires.

Publié dans Tribune libre

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D
Ce qu'a exprimé l'ami Jean Yves je le pense et il l'a mieux écrit que je ne l'aurais fait.<br /> Je suis fatigué de cette gueguerre à laquelle nous venons d'assister par mails et textos interposés, petites phrases, communiqués et combines. Pour faire court j'emprunterai à ma grand mère cette phrase qu'elle aimait à dire devant sa télé pendant les campagnes politiques: la place est bonne, il la veulent tous!<br /> Maintenant que la place est attribuée il est grand temps d'en venir aux fondamentaux et au travail de base, de retrouver cet élan de la présidentielle.
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